L’organisation des droits de l’homme « Amnesty International » vient de sortir un rapport de 63 pages mettant en cause l’usage excessif de la force lors de manifestations en Guinée entre octobre 2019 et juillet 2020.
S’il reste évident que selon ce rapport au moins 50 personnes ont trouvé la mort, chose déplorable (Nous saluons vivement la mémoire des victimes) et près de 200 personnes ont été blessées, le rapport omet clairement le caractère violent et agressif des manifestants et le côté subversif et anarchique des manifestations.
Ce rapport biaisé et partial, à coup sûr corrompu par l’opposition radicale, basé sur des images manipulées et des témoignages fallacieux afin de jeter vainement l’opprobre sur la Guinée et son président omet de manière flagrante les morts et blessés du côté des forces de l’ordre, la destruction des biens publics, d’édifices symboles de l’Etat acquis à grand frais, l’utilisation d’armes de guerre et les agressions physiques et autres voies de faits orchestrés par les partisans et sympathisants de l’opposition, notamment UFDG pendant les manifestations.
Les Guinéens restent sereins face à cette vaste entreprise de calomnie orchestrée depuis les QG des partis politiques d’opposition notamment l’ufdg de l’éternel perdant Cellou Dalein Diallo.
Amnesty International se doit de faire preuve d’objectivité et évité la règle de deux poids/deux mesure qui n’est pas de nature constructive surtout en cette période de tension évidente.